Thank you!
First of all, we’d like to tell you how grateful we are to all of you who stuck by us during our offline period. Thank you so much!
Keep Footballia alive!
But the threat is not gone. As you know, in recent months, Footballia has been in danger of disappearing. We’ve improved our protection so you can keep enjoying football history, but as a consequence, our expenses have increased.
How can you help?
Many of you have asked how you can help the project. The best way is to subscribe to Footballia Master. Not only will you make the project stronger, but you’ll get a bunch of cool features in return!
Yorum ekle
Yorumlar
quel match. un plein de joueurs de légendes.
Sound doesn’t work
It seems to be working fine on our end.
UN GUSTAZO CADA PARTIDO AQUI
¡Nos alegramos que lo disfrutes! :-)
Un Real Madrid imbattibile. Alfredo Di Stefano è stato fantastico, era ovunque.
Ya soy adicto a esta pagina que me permite ver partidos que nunca soñe que iba a poder ver alguna vez
¡Es lo que pretendíamos con este proyecto! Acercar la historia del fútbol a todos los aficionados :-)
Sound is not working for me, doe anyone else have a problem?
Please make sure your browser is fully updated.
thank you, Footbalia
Can someone explain why was the penalty given? I guess it was because it was a special rule, but I still dont understand. Thanks.
I think because it was judged to be a push with the arm, not shoulder-to-shoulder, but it is a bit of a soft one.
Hace falta la primera final de la historia... la del '56...de todos modos buen aporte.
Que sepamos, las cuatro primeras finales no se conservan.
What a wonderful game, incredible footage ! :)
muchas gracias
el mejor partido de la historia del futbol
superb real madrid
One cannot be thanking you guys too much. But thanks for all your work. We football lovers will be for ever in your debt.
Much appreciated! :-)
Muito obrigado Footballia Vocês São os Melhores....Parabéns pelo ótimo trabalho #HALA MADRID
Muito obrigado :-)
Bain de lumière à Glasgow Le 18 mai 1960, 127 000 spectateurs remplissent les gradins de l'immense Hampden Park qui peut en accueillir 132 000. Venus pour assister à un grand spectacle, ils ne sont pas déçus et participent à la véritable apothéose de cette année 1960. Eintracht Francfort, dont le seul salut réside dans le culot, voire l'impertinence, prend le taureau par les cornes dès le coup d'envoi, lance tout son monde à l'attaque, manque de marquer deux buts et en reussit tout de même un grâce à son subtil ailier droit Kress. Alors le Real, personnifié par Di Stefano, abandonne son jeu d'étude, d'attente et de prudence pour se livrer. Le divin Alfredo vient à peine de dégager sa surface de réparation qu'il surgit à point nommé a l'autre bout du terrain pour reprendre un centre de Canario et égaliser (27è). Trois minutes plus tard, il récidive et comme Puskas, de l'exterieur du pied gauche, marque à la 45è minute, le Real mène 3-1 à la mi-temps. Sa cinquième Coupe d'Europe en cinq ans n'est pas loin et les observateurs sont tous unanimes à dire que rarement le Real a donné une aussi forte impression de puissance. Mais on n'a pas tout vu dans ce match, la deuxième mi-temps étant encore plus pleine et plus riche que la précédente. Dans ce combat acharné et loyal, le Real joue l'offensive à outrance, se lavant et se purifiant de ses doutes, atteignant une dimension jamais atteinte. Puskas (56è, 60è, 71è) marque trois nouveaux buts et Di Stefano (75è) cloture la marque a 7-3, le jeune international Erwin Stein ayant marqué deux fois (72è, 74è). Quatre buts en quatre minutes, c'est le bouquet du feu d'artifice. Au coup de sifflet final donné par l'arbitre écossais, M. Mowatt, les 127 000 spectateurs se lèvent et applaudissent durant de longues minutes, comme s'ils voulaient se graver à tout jamais dans la mémoire le souvenir du fabuleux spectacle auquels ils viennent d'assister. Di Stefano et Puskas, auteurs à eux deux des sept buts du Real, s'étreignent longuement dans le vestiaire. L'un et l'autre apprécient le moment qui passe. Il est si rare d'atteindre la perfection dans l'expression artistique qu'on a choisie. Pour Puskas, la victoire représente bien d'autres choses encore: n'était-il pas deux ans plus tôt un footballeur perdu ? Son président, Don Santiago Bernabeu, vient lui donner l'accolade: « j'ai toujours cru en toi, Pancho. Ta force, vois tu, c'est là qu'elle est ! » Et en disant celà, il lui pose la main sur le cœur. « Extrait de «La fabuleuse histoire du football»
the first real madrid's goal was at 21', no at 27'
Actually it's officially listed at 27. There's probably one or two minutes missing from the footage, we can't be sure.
Thank you footballia for your great effort :)
Thank you, friend! :-)
Superb Match.....! Real Madrid at their best.
que ganas tenia de ver este partido, gracias
Partido muy difícil de conseguir por la antigüedad del mismo. Muchas gracias por el trabajazo!!! ;)
¡Muchas gracias! :-)
Maravilloso , nunca crei ver un partido de esta clase . gracis por guardarlos y subirlos a la red. gracis.
¡Muchas gracias!